Le développement des chauffeurs de véhicules UBER en République Dominicaine devient intolérable et pourrait engendrer des conflits, selon le Président de la Confédération Dominicaine des taxis touristiques.
Pour Santiago Zamora, Président de la Confédération Dominicaine des taxis touristiques, des conflits pourraient apparaitre, d’autant qu’aux véhicules UBER s’ajoutent d’autres transporteurs illégaux. Zamora argumente que les taxis ont l’autorisation du ministère du Tourisme pour travailler, et attire l’attention du ministre du Tourisme « car la loi sur la mobilité, les transports, le transit terrestre et la sécurité routière serait en train d’être transgressée ».
Le Président des taxiteurs qualifie de positive la disposition de l’INTRANT (Instituto Nacional de Tránsito Terrestre) d’interdire aux conducteurs de la plateforme UBER de proposer leurs services aux aéroports et dans les centres touristiques. Mais il faudrait que cette décision ne soit pas seulement un effet d’annonce, et qu’elle doit s’appliquer avec toute la rigueur définie par la loi, précise Zamora.
SMBN (Source Arecoa.com)